Nouvelles médiatiques et scientifiques
Les journaux en ligne ont l’avenir en poupe !
Commandée par “Newspaper Association of America“, une étude de marché assurée par le cabinet Nielsen Online a constaté une forte hausse du lectorat régulier pour les journaux en ligne. L’augmentation de ce lectorat américain représente 10 % entre les premiers trimestres 2008 et 2009.
Lors du premier trimestre de 2009, une moyenne mensuelle de 73,3 millions d’internautes américains ont lu un journal en ligne contre une moyenne mensuelle de 66,4 millions lors de la même période de 2008. Bien évidemment, il s’agit de visiteurs uniques comptabilisés pour 24 heures.
Lors du premier trimestre de 2009, plus de 3,5 milliards de pages internet ont été vues ce qui représente une hausse spectaculaire de 13 % par rapport au premier trimestre de 2008.
Par conséquent, l’ensemble des journaux américains imprimés ont enregistré de fortes pertes financières pour la vente publicitaire. Ces importantes baisses de recettes publicitaires ont entraîné soit la fermeture de certains journaux ou l’arrêt de leur version imprimée.
Les journaux français à grand tirage sont confrontés au même phénomène d’érosion des recettes publicitaires tandis que l’avenir appartient aux médias en ligne. Bien évidemment, on trouve sur internet une palanquée de journaux acquis au politiquement correct et à la pensée unique.
Cependant et fort heureusement, il existe de véritables sites d’information gratuits et libres ou plutôt de réinformation à l’instar de Nations Presse Info. Constamment réactualisé, NP info possède donc un avenir radieux sur la toile comme le démontrent ces récentes statistiques d’avril 2009. Au sujet des média en ligne, on (re)lira avec profit l’entretien de Jacques Vassieux avec Génération FA8.
Palais des Congrès et des Festivals à Cannes
Festival de Cannes : triomphe de la “culture” bobo et mondialiste
Créé en 1946, le Festival de Cannes se déroule chaque année dans la ville éponyme des Alpes-Maritimes. En 1968, il fut interrompu par des “révolutionnaires” gauchistes si bien qu’aucun prix ne fut décerné. Avec un jury majoritairement composé de bobos déjantés et/ou de gauchistes embourgeoisés, le Festival de Cannes consacre annuellement le triomphe d’œuvres cinématographiques conformes au politiquement correct en vigueur. D’ailleurs, le film immigrationniste “Entre les murs” de Laurent Cantet, tiré du roman éponyme du gauchiste François Bégaudeau, avait triomphalement obtenu la palme d’or du Festival de Cannes en mai 2008.
Lors d’une conférence de presse mondaine jeudi 30 avril à Paris, les organisateurs ont révélé avoir reçu pour 2009 4.272 films issus de 129 pays et régions, ce qui représente une hausse de 6 % par rapport à 2008.
L’ex mitterrandiste Isabelle Huppert (farouche adversaire du FN) présidera le jury du 62e Festival de Cannes qui se déroulera entre les 13 et 24 mai 2007.
“Là-Haut“, nouveau film d’animation des studios américains Disney-Pixar assurera l’ouverture du Festival tandis que “Coco Chanel & Igor Stravinsky” sera diffusé lors de la clôture.
Il se murmure également qu’au milieu des innombrables œuvres cinématographiques asiatiques et européennes, les films français seraient en force. Outre les noms du hong-kongais Johnnie To, des taïwanais Ang Lee et Tsai Ming-Liang, du britannique Ken Loach, on remarque certains producteurs-réalisateurs français comme Alain Resnais, Jacques Audiard (fils du regretté Michel Audiard), Xavier Giannoli et Gaspar Noé.
Parmi les 20 films retenus pour la compétition des longs métrages, comme par enchantement on se retrouvera avec des “familiers” de la Croisette, comme le producteur américain Quentin Tarantino, titulaire de la Palme d’or de 1994 avec “Pulp Fiction” et le réalisateur autrichien Michael Haneke avec “La pianiste” (Grand Prix du Festival de Cannes de 2001).
Autrement dit, rien que des gauchistes bobos et internationalistes au service de la contre-culture mondialiste et dénuée de toute identité !
Snuppy (d) et son "père" Tai, le lévrier afghan à partir duquel il fut cloné
Corée du Sud : chiens transgéniques et recherche scientifique dévoyée
Depuis les “expériences scientifiques” falsifiées de l’universitaire Hwang Woo-Suk, il semblerait que les chercheurs sud-coréens se complaisent dans une certaine forme de “recherche” morbide et radicalement opposée à la loi naturelle.
Ainsi, des chercheurs sud-coréens auraient réussi à cloner les premiers chiens transgéniques, capables de produire une protéine fluorescente qui prend une couleur rouge lors de son exposition à des lumières ultra-violets ! Même avec une lumière naturelle, on peut distinguer cette protéine rouge sous la peau et la fourrure de ces chiens infortunés.
Dans le mensuel scientifique Genesis daté d’avril 2009, le “chercheur” Byeong Chun-Lee de l’Université nationale de Séoul déclare pompeusement : “nous avons produit la première génération de chiens transgéniques avec quatre femelles et deux mâles avec des protéines fluorescentes rouges (RFP)”.
Comme les chiens développeraient de nombreuses maladies communes aux hommes, ces “chercheurs” nous expliquent doctement que “le développement des modèles de maladie utilisant une approche transgénique” serait attendue depuis longtemps par la communauté scientifique. Ainsi, ces nouvelles conceptions basées sur le clonage déboucheraient sur des modèles de chiens transgéniques des maladies humaines.
Dans le journal “New Scientist“, un membre de l’équipe déclare :” la prochaine étape pour nous est de produire un vrai modèle de maladie”. À travers ces exemples d’expériences “scientifiques” sur des chiens, on se rend compte concrètement que la science dévoyée et dénuée de limites juridiques débouche sur des monstruosités. La loi naturelle est donc ouvertement bafouée.
Byeong-Chun Lee avait travaillé à l’Université nationale de Séoul au sein de l’équipe de “chercheurs” dirigée par le très controversé Hwang Woo-Suk.
Ils sont notamment à l’origine du premier chien conçu par clonage Snuppy. Né le 24 avril 2005, Snuppy est exactement similaire à son “père” Tai, un lévrier afghan. Plus tard, une commission d’enquête sud-coréenne et l’Institut National de la Santé (équivalent américain de l’INSERM) ont authentifié ce “travail scientifique”.
Dans un article du magazine “Science” de 2004, Hwang Woo-Suk et son équipe avaient déclaré être les premiers qui avaient réussi le clonage d’un embryon humain pour la “recherche scientifique”. En 2005, ils récidivèrent en affirmant avoir réussi la production de 11 lignées de “cellules souches”. Sous couvert de vouloir guérir avec efficacité des organes humains souffrant de dysfonctionnement, ces “chercheurs” ont violé sciemment toute déontologie scientifique de base.
En 2005, une vive polémique éclata, s’amplifia très rapidement et aboutit à l’invalidation des résultats (photos fausses et résultats falsifiés délibérément). Même si la commission d’enquête de l’Université nationale de Séoul n’a pas invalidé les résultats sur le chien cloné Snuppy, le scandale atteignit son apothéose fin décembre 2005 car apparemment aucun des 11 clones “créés” par Hwang Woo-Suk n’aurait existé.
Finalement, le professeur Hwang Woo-Suk, qui entre temps s’était démis de toutes ses fonctions officielles, fut inculpé le 12 mai 2006 pour “fraude, détournement de fonds et violation des lois sur la bioéthique”.
Apparemment, cette lamentable saga “scientifique” n’aura pas servi de leçon en Corée du Sud puisque actuellement un ancien membre de l’équipe de Hwang Woo-Suk pratique ces expérimentations douteuses sur des chiens cobayes.
Planisphère mondiale des pays membres et observateurs du Conseil arctique
Canada : recherche arctique et géopolitique
Avec le recul des glaces dans l’Ocean Arctique et la montée conséquente des eaux provoqués par de récents “changements climatiques”, des litiges territoriaux et maritimes ont éclaté au grand jour. Avant la date butoir de 2013 édictée par l’ONU, la Russie, les USA, le Canada mais également le Danemark (cf son territoire autonome du Groenland et les îles Féroe) ont établi en catastrophe une série de revendications territoriales et frontalières pour l’immense zone convoitée de l’Arctique.
Pourquoi un tel empressement ? Parce que la zone arctique est censée abriter d’immenses richesses minières encore inexploitées. Par exemple, cette zone recèlerait un quart des réserves mondiales non encore exploitées en pétrole brut et gaz naturel.
Lors d’un communiqué de presse à l’issue de la 6e session ministérielle du Conseil arctique tenu en Norvège, le ministre canadien des Affaires étrangères Lawrence Cannon a solennellement déclaré que son pays ouvrira prochainement à Oslo un centre international de recherche arctique. Ce nouveau centre est destiné à abriter en permanence cinq haut-fonctionnaires canadiens.
Outre la promotion des intérêts canadiens et une meilleure compréhension des nouveaux défis climatiques et humains, ce centre aura indubitablement une dimension géostratégique.
En raison de l’interdiction du commerce des produits issus des phoques, un diplomate canadien a vertement critiqué l’Union Européenne (UE) pour “son manque de sensibilité aux intérêts et aux perspectives des peuples de l’Arctique”.
Le Conseil arctique fut fondé en 1996 et dès ses débuts s’est défini comme un “forum de haut niveau” auquel participent les différentes nations riveraines de l’immense zone glaciale de l’Arctique. l’UE demande désespérément un statut d’observateur permanent auprès de ce Conseil. Les nations membres du Conseil arctique sont les États-Unis, le Canada, la Russie, la Finlande, la Suède, la Norvège, l’Islande et le Danemark tandis que les membres observateurs sont l’Allemagne, la Chine, l’Espagne, la France, l’Italie, la Pologne, les Pays-Bas et le Royaume-Uni. Outre de nombreuses organisations inter-parlementaires et inter-gouvernementales, on relève notamment le WWF, les Fédérations internationales des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant rouge.